LE CHAMANISME N’A PAS DE DEFINITION UNIQUE 

… hormis d’être animiste : tout est sacré. Le chamanisme est pourvu d’autant de différences de pratiques que de beautés, voici ma pratique :

  • Core Shamanism est un chamanisme vivant, puissamment lié au féminin sacré, libre et respectueux des doctrines et croyances. Aucune pratique dite traditionnelle et ancestrale, si ce n’est nos ancêtres à tous, nos guides humains et spirituels.
  • Une pratique ouverte sur la liberté dans le respect de sa lumière intérieure et donc des autres (individus, pratiques, courant de pensées, etc).
  • Le tambour, ou le hochet, ne font pas le praticien, ni la qualité de ses voyages, ou transe ; ainsi que le Paolo Santo ou la sauge ne constituent pas le « kit » indispensable à une bonne pratique chamanique.
  • Le Grand Tout, le Grand Esprit, réside dans tous les règnes, aucun n’est supérieur à l’autre, mais tous inter-dépendants.
  • C’est la rencontre intime avec ses guides, ses alliés, ses animaux de pouvoir, qui fait qu’on les connait et les ressent en son temple sacré, dans son ventre, seing de toutes créations et de toutes connexions ; et pas parce qu’un autre humain, à qui on a donné pouvoir, les nomme pour nous.
  • C’est une façon de vivre chaque inter-action avec le monde visible et invisible, de les reconnaître en soi, constamment.

Je fais partie du Tout et sans moi ce Tout ne serait pas ; ainsi que vous.


Le chamanisme n’a pas de définition unique, hormis d’être animiste : tout est sacré. Le chamanisme est pourvu d’autant de différences de pratiques que de beautés. Voici celle qui vous sera présentée au sein d’Uni Eki, pratiquée et dispensée, reliée au Core Shamanism.

Je fais partie du Tout et sans moi ce Tout ne serait pas ; ainsi que vous.

Le Grand Tout, le Grand Esprit, réside dans tous les règnes, aucun n’est supérieur à l’autre, mais tous inter-dépendants.

C’est la rencontre intime avec ses guides, ses alliés, ses animaux de pouvoir, qui fait qu’on les connait et les ressent en son temple sacré, dans son ventre, seing de toutes créations et de toutes connexions ; et pas parce qu’un autre humain, à qui on a donné pouvoir, les nomme pour nous.

C’est une façon de vivre chaque inter-action avec le monde visible et invisible, de les reconnaître en soi, constamment.